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- John ne reste jamais-z-en rade. Nous, les murs-z-et les palissades,
- On lui donn’ un petit coup d’main. Il est chouett’, on l’aim’ bien.
- John ne reste jamais-z-en rade. Nous, les murs-z-et les palissades,
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- Allô m’entendez-vous ? Je suis le Loup, madame, votre fille est chez moi, ell’ pleure ell’ vous réclame…
- Je suis collectionneur d’œuvres d’art dont le loup est l’unique sujet, le loup, un point c’est tout !
- Allô m’entendez-vous ? Je suis le Loup, madame, votre fille est chez moi, ell’ pleure ell’ vous réclame…
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- Quoi de plus beau qu’un loup ? J’en suis-z-un spécimen qui sans m’vanter… Bon, bref ! Voilà ce qui m’amène :
- Chez loup… heu, non… chez vous, un loup majestu-eux
- Trôn’ au salon, oui, c’est le « Loup blanc sur fond bleu ». Ce loup j’en suis jaloux, donnez-le-moi madame,
- Quoi de plus beau qu’un loup ? J’en suis-z-un spécimen qui sans m’vanter… Bon, bref ! Voilà ce qui m’amène :
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- Sinon j’sors mon couteau, j’en affûte la lame, je fais-z-un feu d’enfer et je mets-z-à rôtir…
- Devinez qui ? Ne m’obligez pas-z-à le dire ! Dépêchez-vous, j’habit’ rue de la Forêt-Noire, au vingt-sept, et le cod’ c’est « prun’, ceris’, pomm’, poire ! »
- Sinon j’sors mon couteau, j’en affûte la lame, je fais-z-un feu d’enfer et je mets-z-à rôtir…