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- Bonjour ! Mad'moiselle, je coupe ces ficelles qui vous scient les poignets, les bras z'et les mollets
- Merci beaucoup Monsieur, je respire un peu mieux. Enfin, je n'ai plus peur. Mais z'à qui ai-j'l'honneur ?
- Bonjour ! Mad'moiselle, je coupe ces ficelles qui vous scient les poignets, les bras z'et les mollets
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- Je m’appell’ Chatterton, détectiv’ ! Prénom : John. Votre maman inquiète m’a chargé d’un’ enquête.
- Ses rivières de larmes emportent tout, désarment… On ne résiste pas aux chut’ du Niagara !
- Je m’appell’ Chatterton, détectiv’ ! Prénom : John. Votre maman inquiète m’a chargé d’un’ enquête.
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- La suit’, nous le savons, lui a donné raison : stylé, vif comm’ l’éclair, vous avez tout pour plaire.
- Mais non, tout le mérite vous revient chèr’ petite. Sans l’idée de génie de semer vos habits,
- La suit’, nous le savons, lui a donné raison : stylé, vif comm’ l’éclair, vous avez tout pour plaire.
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- Je fouinerais fourbu, sans espoir dans les rues. Je ferais mon boulot, le moral à zéro.
- Ne pensez-vous pas qu’il faille un’ scène de retrouvailles ? Quand verrai-je maman ? Où est-elle à présent ?
- Je fouinerais fourbu, sans espoir dans les rues. Je ferais mon boulot, le moral à zéro.
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- Avant qu’ mon Opinel ne coupe ces ficelles, j’ai app’lé votre mère, elle arrive en scoutèèère,
- Après la peur, l’effroi, la voilà foll’ de joie. J’entends je crois ses pas. Oui, ell’ vous tend les bras.
- Elle lui tend les bras.
- Avant qu’ mon Opinel ne coupe ces ficelles, j’ai app’lé votre mère, elle arrive en scoutèèère,